Le spectre des narcos
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Les services de sécurité et de renseignements bissauguinéens s’inquiètent de l’augmentation considérable, depuis 2005, du nombre des demandes de visas déposées auprès de leur ambassade à Dakar et de leur consulat à Ziguinchor (sud du Sénégal). Il s’agit dans la plupart des cas d’Occidentaux qui ne souhaitent séjourner que deux ou trois jours dans le pays. De là à y voir un possible lien avec le trafic de cocaïne, en plein boom dans la sous-région
Par ailleurs, le Portugal, la France, l’Espagne et les États-Unis se sont engagés à soutenir la Guinée-Bissau dans sa lutte contre les narcotrafiquants. Des accords prévoyant notamment un soutien logistique et la formation d’agents spécialisés seront conclus d’ici à quelques semaines.
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