Aya Nakamura : « J’ai voulu montrer qui je suis sans faire de chichi »

Si la chanteuse était déjà sous le feu des projecteurs grâce à son tube “Djadja”, la parution de son deuxième opus, “Nakamura”, vient conforter sa fulgurante ascension.

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KATIA TOURE_perso Aïssatou Diallo.

Publié le 20 novembre 2018 Lecture : 1 minute.

Avec son deuxième album quasi-éponyme, la chanteuse de 23 ans Aya Danioko, alias Aya Nakamura, est en train de révolutionner la scène des musiques urbaines en France. Et ce, à la faveur d’un répertoire qui confine à la machine à tubes entre afro-pop et afro-zouk. Le tout nappé d’un vocabulaire argotique qui a fini d’asseoir son succès.

« Djadja », « Copines »… Ces deux premiers titres ont déjà envahi les dancefloors du monde entier dont ceux du continent africain tant en région francophone qu’anglophone.

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Mais Aya Nakamura, c’est aussi une success story à laquelle s’identifie la jeunesse de la diaspora africaine. Native de Bamako, fille de griotte bambara, fan absolue d’Oumou Sangaré et de la série Heroes (elle doit son nom d’artiste à l’un de ses personnages), Aya Nakamura est aussi naturelle que maniérée, aussi émouvante qu’insaisissable.

Une image décomplexée

C’est qu’elle affiche un « je-m’en-foutisme » des plus spectaculaires. Doit-on y voir les raisons de son ascension ? Sans doute. Elle s’affirme sans se préoccuper de l’image qu’elle renvoie. Plutôt salvateur par les temps qui courent. « Nakamura », publié le 2 novembre chez Rec.118 (Warner Music), est d’ores et déjà certifié disque d’or.

Sa collaboration avec Davido, une prochaine tournée en Afrique, les critiques sur les réseaux sociaux, Aya Nakamura nous répond du tac au tac dans la vidéo ci-dessous…

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