Odile Jacob et les présidents américains
![](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,height=810,fit=cover/medias/default.png)
Le fils domine l’actualité internationale, mais revoici le père. Pas à la tête des États-Unis, qu’il a présidés de 1989 à 1993, mais, plus modestement, en librairie : jeudi 16 juin est paru chez Odile Jacob Journal d’un président. 1942-2005, de George Bush, tiré au départ à 20 000 exemplaires.
Déjà, en 1999, l’éditrice avait publié À la Maison Blanche (plus de 22 000 exemplaires vendus), où George Bush Senior et Brent Scowcroft, son conseiller à la Sécurité nationale, abordaient des questions purement politiques. Ici, par un recueil de lettres envoyées à des proches, mais aussi à des personnalités politiques, et un cahier de photos personnelles, on découvre un George Bush plus intime, qui donne aussi sa vision de l’engagement politique. Deux textes inédits destinés à son éditrice et à ses lecteurs français, datés de mai 2005 (la version américaine est parue en 1999), ouvrent et ferment le volume, et un ensemble de lettres concernant plus particulièrement la France (lettres à François Mitterrand et à Jacques Chirac) ont été ajoutées entre les pages 542 et 722.
Décidément éditrice des présidents américains, Odile Jacob avait déjà publié en 2000 Avec l’aide de Dieu, de George W. Bush, quelques semaines avant l’élection présidentielle remportée par le candidat républicain, et obtenu un joli succès avec Ma vie, du démocrate Bill Clinton (plus de 160 000 exemplaires vendus en 2004).
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- L’État algérien accélère la cadence pour récupérer les biens mal acquis
- Pour la première fois, Mahamadou Issoufou condamne le coup d’État du général Tiani
- Amnesty International demande l’arrêt des expulsions forcées à Abidjan
- Au Niger, Abdourahamane Tiani et la stratégie assumée de l’« anti-France »
- M23 en RDC : cinq questions pour comprendre pourquoi le conflit s’enlise