Sursaut francophone
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La place du français comme langue officielle a été mieux respectée lors des jeux Olympiques d’hiver de Turin (10-26 février) que pendant les Jeux d’été d’Athènes, en 2004. C’est le constat qui ressort des premières observations de la Québécoise Lise Bissonnette, « grand témoin de la Francophonie » pour l’événement. Annonces officielles, inscriptions et documents d’information à destination du public ont réservé à la langue de Molière la place qui lui revient dans le cadre du mouvement olympique, indique celle-ci. Seule déception : les épreuves – de sports de glace notamment – étaient trop souvent commentées en anglais ou en italien uniquement. Lise Bissonnette remettra au mois de mai ses conclusions et recommandations à Abdou Diouf, le secrétaire général de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF).
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