Liaison ferroviaire Abidjan-Ouaga : le Parlement du Burkina donne son feu vert à l’accord avec le groupe Bolloré

Les parlementaires burkinabè ont adopté la nouvelle concession pour la gestion et l’exploitation du chemin de fer Abidjan-Ouaga, conclue entre le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire et le groupe Bolloré. À la clef : 400 millions d’euros pour réhabiliter la liaison ferroviaire entre les deux villes.

Gare ferroviaire à Bobo-Dioulasso © Renaud VAN DER MEEREN pour Les Editons du Jaguar

Gare ferroviaire à Bobo-Dioulasso © Renaud VAN DER MEEREN pour Les Editons du Jaguar

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Publié le 6 décembre 2018 Lecture : 2 minutes.

Le texte de 66 pages, assorti d’annexes (voir ci-dessous), constitue une véritable refonte de la gestion et l’exploitation du chemin de fer Abidjan-Ouagadougou, et donne à la Société internationale de transport africain par rail (Sitarail, filiale du groupe Bolloré) la responsabilité des investissements pour le renouvellement complet de 852 km de voies ferrées sur les 1 260 km reliant Abidjan à Ouagadougou –  et de maintenance des infrastructures du réseau. Ces travaux de réhabilitation, prévus sur cinq ans, ont déjà démarré en Côte d’Ivoire. « Nous devons maintenant nous entendre avec le groupe Bolloré pour le lancement des travaux de réhabilitation au Burkina », explique Vincent Dabilgou, ministre des Transports.

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