Le MLC indésirable

Publié le 28 janvier 2003 Lecture : 1 minute.

Les représentants du Mouvement de libération du Congo (MLC) à Kinshasa
ont été priés, le 23 janvier, de quitter la capitale dans les plus brefs
délais. Cette demande leur a été transmise verbalement par Jean Mbuyu,
le conseiller spécial du chef de l’État pour les questions de sécurité. Le
lendemain, cette décision de nature à remettre en cause l’accord de paix
signé à Pretoria le 17 décembre n’avait toujours pas été confirmée par
écrit. À en croire certaines sources, ce flottement met en évidence l’influence
persistante des durs de l’entourage du président Joseph Kabila,
et notamment de l’ancien ministre à la Présidence, Augustin Katumba
Mwanke. Mis en cause en octobre 2002 par un rapport de l’ONU sur le
pillage des ressources naturelles du pays, celui-ci a été limogé le
11 novembre, mais reste membre du premier cercle du pouvoir.
membre du directoire de la
Société tunisienne de banque
(STB), où elle est chargée
de la gestion des ressources
humaines et de l’administration.
Sa nomination officielle devrait
intervenir lors d’une prochaine
assemblée générale des actionnaires.
En attendant, et compte
tenu du départ de Brahim
Saada, nommé président
du directoire de la STB
(J.A.I. n° 2193), c’est Philippe
Amestoy, directeur général
adjoint, qui assume à titre provisoire
la fonction d’administrateur
délégué de l’UIB.

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