Quel médiateur ?
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Bien que le gouvernement togolais ait souscrit aux vingt-deux engagements exigés de lui par Bruxelles, l’aide européenne restera gelée tant que le dialogue politique n’aura pas été renoué, à Lomé. La nomination d’un médiateur chargé de réunir Faure Gnassingbé et les leaders de l’opposition autour d’une même table est donc urgente. Reste à s’entendre sur un nom. Un moment pressenti, Moustapha Niasse, l’ancien Premier ministre sénégalais, a été récusé par Gilchrist Olympio. Antonio Mascarenhas Monteiro, l’ancien président du Cap-Vert, pourrait avoir le bon profil. En 2002, il a en effet mené à bien deux missions de médiation : l’une à Madagascar, pour le compte de la défunte OUA ; l’autre en Haïti, pour celui de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF).
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