Après le désistement du Maroc, qui de l’Égypte ou de l’Afrique du Sud organisera la CAN 2019 ?

Désistement surprise du Maroc pour organiser la CAN 2019, saisine du Tribunal arbitral du sport par la Côte d’Ivoire, imbroglio sur la candidature guinéenne en 2023… Retour sur une folle semaine pour la CAF et son président, Ahmad Ahmad.

Ahmad Ahmad, le patron malgache de la CAF, lors d’une visite à Marrakech, au Maroc, en mars 2017. © Mosa’ab Elshamy/AP/SIPA

Ahmad Ahmad, le patron malgache de la CAF, lors d’une visite à Marrakech, au Maroc, en mars 2017. © Mosa’ab Elshamy/AP/SIPA

Alexis Billebault

Publié le 15 décembre 2018 Lecture : 5 minutes.

Lors du match Cameroun – Allemagne, le 25 juin 2017. © Thanassis Stavrakis/AP/SIPA
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CAN 2019 : le grand cafouillage

Estimant que le Cameroun n’était pas prêt à accueillir la Coupe d’Afrique des nations de football 2019, la CAF lui a retiré le 30 novembre l’organisation de la compétition. Appel à candidatures, qualification incertaine des Lions indomptables, vraie-fausse candidature du Congo-Brazzaville… le grand cafouillage règne autour de la CAN 2019.

Sommaire

Après deux semaines très agitées, l’officialisation des pays candidats à l’organisation de la Coupe d’Afrique des nations (CAN) 2019, vendredi 14 décembre à minuit, est venue apporter un peu de calme. L’Afrique du Sud et l’Égypte, qui ont déjà accueilli l’épreuve par le passé (1996 et 2013 pour la première ; 1959, 1974, 1986 et 2006 pour la seconde), sont finalement les deux seules à s’être manifestées. Elles feront l’objet d’un audit du cabinet parisien Roland Berger, avant que la Confédération africaine de football (CAF) annonce, le 9 janvier prochain à l’issue d’un comité exécutif extraordinaire à Dakar, le nom du pays chargé d’organiser la première CAN à 24 équipes.

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