Lutte contre le réchauffement climatique : le Maghreb en quête de stratégie
Alors que les délégations marocaine, algérienne et tunisienne demandent des réponses concrètes et plus de moyens pour faire face au dérèglement du climat, la COP24 s’est contentée de valider l’accord de Paris, entré en vigueur en novembre 2016.
![Les responsables de délégations à la clôture de la COP24 à Katowice (Pologne), le 15 décembre 2018 © Czarek Sokolowski/AP/SIPA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2018/12/27/sipa_ap22282658_000002-e1545917376783.jpg)
Les responsables de délégations à la clôture de la COP24 à Katowice (Pologne), le 15 décembre 2018 © Czarek Sokolowski/AP/SIPA
Le rapport des scientifiques du Giec, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, ne laisse planer aucun doute : la Méditerranée est l’un des hotspots mondiaux face au réchauffement climatique, l’un des endroits les plus exposés aux « lourdes conséquences d’une augmentation des températures au-delà de 1,5° C ».
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