Intertek ouvre un laboratoire d’analyse pétrochimique à Tanger Med
L’anglais Intertek vient d’ouvrir un nouveau laboratoire d’analyse de produits pétroliers dans la zone franche de Tanger Med au Maroc.
![](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,height=810,fit=cover/medias/default.png)
Déjà bien implanté sur les côtes marocaines, Intertek renforce sa présence au Maroc avec l’ouverture d’un nouveau laboratoire d’analyse pour les produits raffinés (gaz, pétrole, GPL).
Kassem Wahid, directeur Afrique du Nord de Intertek, déclare dans le communiqué publié par le groupe anglais, que cette dynamique découle de la volonté de se rapprocher des clients du groupe. Les terminaux de Tanger Med possèdent, depuis 2012 et l’ouverture de Tanger Med II, 500 000 mètres cubes de stockage pour les produits raffinés que traite Intertek.
Lire aussi :
Maroc: Tanger Med 2 contre vents et marées
Tanger Med repart à l’abordage
Le fournisseur britannique de services aux entreprises (audit, contrôle qualité, certification, conseil), a réaffirmé sa volonté de continuer à investir dans la zone franche Tanger Med. Le géant anglais, coté à la Bourse de Londres, en a les moyens et n’hésite pas à investir (six acquisitions en 2013).
Résultats
Présent dans 100 pays à travers le monde, le groupe déjà centenaire affiche un chiffre d’affaires de plus de 2,5 milliards d’euros en 2013 et une croissance de 6,7 % au premier semestre de l’année 2014, avec un profit opérationnel en constante augmentation depuis cinq ans. Sa capitalisation boursière s’élève à 5,8 milliards d’euros.
L'éco du jour.
Chaque jour, recevez par e-mail l'essentiel de l'actualité économique.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus – Économie
- RDC : des minerais de sang aux minerais de paix
- Présidence de la BAD : Bassirou Diomaye Faye, arbitre des ambitions sénégalaises
- Pourquoi Alassane Ouattara a limogé Adama Coulibaly, patron du Conseil du coton et de l’anacarde
- La question nationale au cœur de l’économie gabonaise
- Énergie, aérien, pétrole… Qui a le plus à perdre de la « rupture » de Bassirou Diomaye Faye ?