Communiqué

Publié le 27 avril 2004 Lecture : 1 minute.

Seul journaliste du Groupe Sud Communication à Maputo lors du sommet de l’Union africaine,
Madior Fall s’est senti visé, bien qu’il n’ait pas été cité nommément, par un passage de l’article « Sénégal : bras de fer au sommet », paru dans le n° 2247 du 1er au 7 février de Jeune Afrique/l’intelligent. En réaction, il a porté plainte le 20 février 2004, devant le Tribunal Hors Classe de Dakar, contre le Groupe Jeune Afrique.
L’intéressé, que nous avions en vain essayé de joindre au moment de notre enquête, en janvier dernier à Dakar, nie formellement avoir été celui qui, à Maputo, en juillet 2003, aurait confié à Karim Wade, fils du chef de l’État sénégalais, ces propos : « C’est Idrissa Seck qui a commandité et financé le livre contre votre père. Je peux le prouver.» D’autant plus, précise-t-il, qu’il se trouvait déjà à Maputo au moment où le livre d’Abdou Latif Coulibaly paraissait à Dakar. Par conséquent, il ne pouvait disserter sur un livre dont il n’avait pas encore lu une seule ligne.
Par ailleurs, suite à la médiation entreprise par notre confrère Ibrahima Ndoye, de la télévision sénégalaise, les deux parties sont convenues de résoudre le litige à l’amiable. Madior Fall a ainsi retiré sa plainte.

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