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Paru l’an dernier en Inde, le livre de la Pakistanaise Uzma Aslam Khan vient de sortir en France chez Picquier. Transgression (544 pp., 31 euros) relate une histoire d’amours contrariées, avec, en toile de fond, le choc entre l’islam et la modernité occidentale. Les critiques n’ont pas tardé à comparer l’auteur à l’Indienne Arundhati Roy et à la Bangladaise Taslima Nasreen, figures emblématiques de la nouvelle génération d’écrivaines asiatiques.
Kate Long, professeur d’anglais le jour, écrit le soir pour se détendre. Bien lui en a pris : elle se retrouve parmi les meilleures ventes au Royaume-Uni avec un premier roman intitulé The Bad Mother’s Handbook (Pan Macmillan). Évoquant la complexité des relations entre trois générations de femmes, l’histoire séduit les adolescentes comme les grands-mères.
Dans la même lignée féministe, Helen Fielding, l’auteur de Bridget Jones, revient en force avec Olivia Joules ou l’imagination hyperactive, qui narre les aventures d’une journaliste obsédée par les scoops. Le livre sort en juin chez Albin Michel.
Pour la postérité, il restera le premier éditeur d’Albert Camus. Mais Edmond Charlot, qui avait débuté en 1936 à Alger, publia aussi Emmanuel Roblès et Jules Roy. Mort le 10 avril à l’âge de 89 ans, il laisse un catalogue de quelque trois cents titres où l’on relève également les noms de Gide, Kessel, Vercors…
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