Venezuela : Maroc, Algérie, Turquie… comment les pays arabo-musulmans se positionnent dans la crise
Le Venezuela est, depuis quelques semaines, sous le feu des projecteurs. Alors que le président de l’Assemblée et principal opposant à Nicolás Maduro, Juan Guaidó, a obtenu les faveurs de l’Union européenne et des États-Unis, les pays du Maghreb et du Moyen-Orient oscillent entre silence et soutien calculé.
La confrontation au Venezuela entre Nicolás Maduro, président en place, et Juan Guaidó, leader d’opposition à la tête du Parlement, divise la communauté internationale. Depuis le début de la crise, le 23 janvier dernier, les pays se sont à tour de rôle positionnés pour la reconnaissance de l’un des deux hommes comme représentant légitime du pays. Le second, président auto-proclamé soutenu par une révolte populaire, s’appuyant sur une disposition de la Constitution qui lui donne cette possibilité en cas de défaillance du chef de l’État, le premier soutenu par l’armée et par une partie de la population, mais dont la réélection demeure controversée.
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