G5 Sahel : Alpha Barry promet « la pleine opérationnalisation » de la force conjointe en 2019

Manques de moyens, retards dans la mise en place opérationnelle de la force conjointe, manques d’investissements dans le développement…. Alors que son pays vient de prendre la présidence tournante du G5 Sahel, à l’issue du sommet de Ouagadougou, le ministre burkinabè des Affaires étrangères réponds pour Jeune Afrique aux critiques adressées à l’initiative sahélienne.

Alpha Barry, ministre burkinabè des Affaires étrangères, en 2017 à Ouagadougou. © Sophie Garcia/jeune Afrique

Alpha Barry, ministre burkinabè des Affaires étrangères, en 2017 à Ouagadougou. © Sophie Garcia/jeune Afrique

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Publié le 7 février 2019 Lecture : 5 minutes.

Critiqué pour son manque d’efficacité, le G5 Sahel doit encore trouver les moyens d’endiguer l’insécurité permanente qui sévit aux frontières communes des pays qui le composent, le Mali, le Burkina Faso, la Mauritanie, le Tchad et le Niger. Outre la mise en place effective des dispositifs sécuritaires communs, aux premiers rangs desquels la force conjointe dont la phase « d’opérationnalisation » complète est sans cesse repoussée, l’initiative sahélienne doit aussi tenir ses engagements de développement, qui figurent dans la première phase de son programme d’investissement prioritaire, plébiscité par les bailleurs.

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