Temmar et les privatisations
![](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,height=810,fit=cover/medias/default.png)
Simple changement de méthode ou désaveu de la politique menée par Abdelhamid Temmar, le ministre de la Promotion de l’investissement ? Abdelaziz Bouteflika a décidé de bouleverser le fonctionnement du processus de privatisations. Alors que, jusqu’ici, c’était les vingt-sept sociétés de gestion des participations de l’État (SGP) – et donc le ministère de Temmar – qui pilotaient les opérations de cession au privé des six cents entreprises publiques visées par ce processus, ce sont désormais les ministères de tutelle desdites entreprises (en fonction des secteurs d’activité) qui en seront chargés. Malgré de nombreux effets d’annonce, le processus de privatisations confié à Temmar, pourtant très proche du chef de l’État, avance trop lentement au goût de ce dernier.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- L’État algérien accélère la cadence pour récupérer les biens mal acquis
- Pour la première fois, Mahamadou Issoufou condamne le coup d’État du général Tiani
- Amnesty International demande l’arrêt des expulsions forcées à Abidjan
- Au Niger, Abdourahamane Tiani et la stratégie assumée de l’« anti-France »
- M23 en RDC : cinq questions pour comprendre pourquoi le conflit s’enlise