Le poids du secteur primaire
![](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,height=810,fit=cover/medias/default.png)
Le Sénégal était sur une trajectoire de croissance économique de 5 % à 6 % par an depuis 1994 (ce qui permet une amélioration nette du revenu par habitant de 2,5 %). Mais, en 2002, les conditions climatiques ont fait chuter la production agricole de près de 21 % et celle de l’élevage d’environ 8 %. Conséquence : la croissance économique avait diminué de moitié et le revenu par habitant ne progressait plus. C’est dire l’importance qu’il y a à développer – davantage que les 6 % ou 7 % prévus – les autres secteurs (industrie, BTP, services).
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Jeune Afrique utilise votre adresse e-mail afin de vous adresser des newsletters.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- L’État algérien accélère la cadence pour récupérer les biens mal acquis
- Amnesty International demande l’arrêt des expulsions forcées à Abidjan
- Comment Tiani accélère la mise en œuvre du pipeline Niger-Tchad
- Dans l’aérien, Sky Mali joue la carte de l’alliance des compagnies sahéliennes
- L’Algérienne Imane Khelif dépose plainte contre Donald Trump, Elon Musk et J. K. R...