Ces montagnes qui font rêver

La lutte avec frappe est passée d’une pratique traditionnelle à un moyen de promotion sociale, jusqu’à rencontrer autant de succès que le football.

Publié le 20 novembre 2003 Lecture : 1 minute.

Du 20 octobre au 20 novembre derniers, Bamako accueillait les Rencontres de la photographie africaine. Parmi les nombreux artistes venus exposer leurs uvres cette année (d’Afrique bien sûr, mais aussi d’Europe, de Cuba et d’Haïti), quatre Sénégalais : Fatou Kandé Senghor, Aliou Mbaye, Matar Ndour et Pape Seydi.
Nous avons, à notre tour, choisi d’honorer le travail réalisé par notre confrère Aliou Mbaye en publiant quelques images de son reportage sur la lutte sénégalaise avec frappe. Né en 1966 à Dakar, Aliou Mbaye est actuellement photographe à l’agence Panapress.
Le thème central retenu par les organisateurs de cette Ve biennale, « Rites profanes, rites sacrés », loin de constituer un quelconque carcan officiel, a au contraire permis l’étalage de la diversité. Qu’elles soient quotidiennes ou sacrées, festives ou mystérieuses, joyeuses ou dramatiques, les pratiques rituelles, en Afrique, ne manquent pas.
Très populaires, les galas de lutte sont l’occasion de grandes réjouissances et, bien sûr, de nombreuses pratiques mystiques visant à s’assurer de la victoire.

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