Fiscalité : les brasseurs camerounais sous pression
En dépit d’une augmentation des prix consentie par Yaoundé, l’industrie brassicole camerounaise se plaint d’être depuis quatre ans une vache à lait pour l’administration fiscale et demande une pause.
L’industrie brassicole camerounaise a en partie obtenu gain de cause, après moult atermoiements. Le 12 mars, les prix des boissons, principalement des bières et de certaines boissons gazeuses, connaissaient une hausse comprise entre 25 et 50 F CFA (0,04 et 0,08 euro), en dépit du refus des associations de défense des consommateurs.
Une bataille de haute lutte arrachée par cette filière composée la Société des brasseries du Cameroun (SABC – groupe Castel), de Guinness Cameroon (groupe Diageo) et de l’Union camerounaise des brasseries (UCB – groupe Kadji).
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
Les plus lus
- Sanctionné par la CAF, Samuel Eto’o échappe au pire
- « Ma mère me dit : “Quitte ce pays de racistes” », les Africains de France face à la montée du RN
- Entre le Gabonais Oligui Nguema et ses voisins, tout va presque bien
- Sonangol obtient le feu vert d’Alassane Ouattara pour la vente de ses parts dans la SIR
- Au Cameroun, Paul Biya proroge le mandat des députés et conseillers municipaux