Fiscalité : les brasseurs camerounais sous pression
En dépit d’une augmentation des prix consentie par Yaoundé, l’industrie brassicole camerounaise se plaint d’être depuis quatre ans une vache à lait pour l’administration fiscale et demande une pause.
![Une moto de livreur de bières, au Cameroun (Illustration). © Creative Commons / Flickr / Mimbo benskin](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2018/08/28/5786166788_c076e79f35_z.jpg)
Une moto de livreur de bières, au Cameroun (Illustration). © Creative Commons / Flickr / Mimbo benskin
L’industrie brassicole camerounaise a en partie obtenu gain de cause, après moult atermoiements. Le 12 mars, les prix des boissons, principalement des bières et de certaines boissons gazeuses, connaissaient une hausse comprise entre 25 et 50 F CFA (0,04 et 0,08 euro), en dépit du refus des associations de défense des consommateurs.
Une bataille de haute lutte arrachée par cette filière composée la Société des brasseries du Cameroun (SABC – groupe Castel), de Guinness Cameroon (groupe Diageo) et de l’Union camerounaise des brasseries (UCB – groupe Kadji).
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