Fin de la brouille
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Le voyage effectué les 17 et 18 juillet à Alger par le général Saleh Rejab al-Mesmeri, ministre libyen de l’Intérieur, n’était pas vain. Reçu par le président Abdelaziz Bouteflika, il s’est longuement entretenu avec son homologue algérien Nourredine Yazid Zerhouni et avec le patron de la sécurité nationale, le colonel Ali Tounsi. Objectif : rassurer ses interlocuteurs sur la volonté du colonel Kadhafi de maintenir « des rapports fraternels et confiants » avec son voisin occidental. Les relations entre les deux pays avaient été fortement secouées par l’appel lancé en avril dernier à Tombouctou (Mali) par le « Guide » pour l’instauration d’une Fédération des Touaregs au grand Sahara. À Alger, le propos a alors été interprété comme une incitation au séparatisme. « Il n’en est rien », affirment aujourd’hui les Libyens.
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