Tchernobyl frappe encore
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La moitié des jeunes Ukrainiens actuellement appelés au service militaire souffrent de pathologies diverses que les spécialistes n’hésitent pas à relier à la catastrophe nucléaire de Tchernobyl, survenue l’année de leur naissance (1986). Chef de laboratoire au Centre ukrainien de médecine des radiations, le Dr Mariya Pelynska confirme que des mutations génétiques continuent à se produire, parfois à des centaines de kilomètres de la centrale. Malgré les apaisements officiels, les experts atomistes ajoutent qu’à Tchernobyl même tout danger est loin d’être écarté. En particulier, le « bouclier » censé couvrir le « réacteur numéro 4 », trop hâtivement construit, présente aujourd’hui d’inquiétantes « fuites » radioactives.
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