3 questions à Zineb Benabdejlil

Vice-présidente chargée au Maroc de la Fédération francophone de coachs professionnels et directeur général de Deo conseil international

Publié le 25 avril 2006 Lecture : 1 minute.

Jeune Afrique : Qu’en est-il de la pratique du coaching d’entreprise au Maroc ?
Zineb Benabdejlil : Le coaching est en plein essor au Maroc. C’est un métier émergent caractérisé par une offre récente. Mais tout reste à faire en matière d’informations du client. Il est ainsi important de rappeler que le coaching consiste en une démarche d’accompagnement en termes de performance avec des étapes bien précises qui sont une définition de l’objectif, un état des lieux, une recherche d’options, un plan d’action et son suivi, et enfin un bilan permettant de mesurer le chemin parcouru.
Quels sont les domaines dans lesquels on vous demande d’intervenir le plus souvent ?
En tant que coachs, nous sommes des experts du processus et non du contenu. Nous pouvons donc accepter toute demande qui réponde à un objectif de développement et, dans mon cas, en tant que coach en entreprise, à un objectif de développement professionnel.
Quel est l’avenir du coaching au Maroc et plus généralement au Maghreb ?
Pour moi, c’est un outil de développement de plus en plus incontournable. Dans un monde où il faut toujours faire mieux, plus vite et moins cher, les dirigeants ont plus que jamais besoin d’être accompagnés. Le coaching n’est pas un produit ! C’est une démarche d’accompagnement visant à développer l’autonomie, le potentiel et les performances de chacun, autant de clés du développement économique et social.

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