État-opérateur : qui touche quoi ?
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Dans le système de partage de production, le Congo est associé, via la Société nationale des pétroles du Congo (SNPC), aux entreprises étrangères qui exploitent les blocs. Il se charge de commercialiser, lui-même, la part de la production qui lui revient. Un exemple : quand 100 barils sont produits, 50 couvrent les coûts de production (c’est le cost oil, incompressible mais plafonné), 12 reviennent comme redevance à l’État et les 38 restants constituent le profit oil (la part sur laquelle s’applique le contrat de partage de production) et que l’État et la compagnie exploitante se partagent équitablement.
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