Pourparlers euro-algériens

Publié le 25 février 2003 Lecture : 1 minute.

C’est pour la même raison que Loyola de Palacio, le commissaire européen à l’Énergie, et Brian Wilson, secrétaire d’État britannique à l’Énergie, se sont rendus à Alger dans le courant du mois de février : convaincre le gouvernement algérien de ne plus mentionner le nom du pays destinataire dans ses contrats de vente de gaz à l’Union européenne. Bruxelles souhaite en effet que le gaz, quelle que soit sa provenance, soit soumis aux règles de la concurrence dès son entrée dans l’espace européen. Londres, qui deviendra importateur net de gaz à l’horizon 2005, entend en outre assurer ses arrières. Mais Alger voit dans l’éventuelle suppression de cette clause une menace pour ses contrats à long terme.

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