Les gesticulations d’Ali Benhadj

Publié le 25 mars 2003 Lecture : 1 minute.

À moins de trois mois de sa sortie de prison, Ali Benhadj, l’ex-numéro deux du Front islamique du salut (FIS), continue son activité épistolaire. Après avoir tenté, en vain, d’obtenir une libération anticipée lors du dernier trimestre 2002, il a transmis, durant la seconde quinzaine de février, une lettre au président Abdelaziz Bouteflika pour lui indiquer qu’il était prêt à cesser toute activité politique au lendemain de son élargissement, et à accepter un exil en Arabie saoudite. Pour cela, il pose une condition : que soient jugées publiquement toutes les personnes impliquées dans l’interruption du processus électoral en janvier 1992. Une fois encore, le détenu de la prison militaire de Blida n’a reçu aucune réponse.

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