Les gesticulations d’Ali Benhadj
![](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,height=810,fit=cover/medias/default.png)
À moins de trois mois de sa sortie de prison, Ali Benhadj, l’ex-numéro deux du Front islamique du salut (FIS), continue son activité épistolaire. Après avoir tenté, en vain, d’obtenir une libération anticipée lors du dernier trimestre 2002, il a transmis, durant la seconde quinzaine de février, une lettre au président Abdelaziz Bouteflika pour lui indiquer qu’il était prêt à cesser toute activité politique au lendemain de son élargissement, et à accepter un exil en Arabie saoudite. Pour cela, il pose une condition : que soient jugées publiquement toutes les personnes impliquées dans l’interruption du processus électoral en janvier 1992. Une fois encore, le détenu de la prison militaire de Blida n’a reçu aucune réponse.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- L’État algérien accélère la cadence pour récupérer les biens mal acquis
- Pour la première fois, Mahamadou Issoufou condamne le coup d’État du général Tiani
- Amnesty International demande l’arrêt des expulsions forcées à Abidjan
- Au Niger, Abdourahamane Tiani et la stratégie assumée de l’« anti-France »
- M23 en RDC : cinq questions pour comprendre pourquoi le conflit s’enlise