À court terme
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Les pays recevant la note A sont ceux dans lesquels les retournements de conjoncture politique, économique ou financière n’auraient qu’une influence limitée sur les impayés. Les pays recevant la note B, C ou D sont dits spéculatifs : le risque d’y connaître des difficultés de paiement y est graduellement plus important. Mais le retour sur investissement peut l’être tout autant. L’appréciation la plus mauvaise vise les États dont l’environnement des affaires présente un risque maximal, susceptible d’aggraver des comportements de paiement généralement exécrables. Si les pays d’Afrique du Nord s’en sortent plutôt bien, la Libye écope toutefois d’un C peu surprenant malgré son ouverture progressive aux opérateurs occidentaux, et le Soudan d’un D lié à la rébellion qui persiste dans les provinces méridionales. Au sud du Sahara, en revanche, les pays à haut risque sont plus nombreux. Outre le Nigeria, les États d’Afrique centrale et australe restent parmi les plus dangereux.
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