Bataille de chiffres
Le gouvernement et les syndicats algériens ont modérément apprécié les remontrances du Fonds monétaire international (FMI) à propos de l’augmentation des salaires entrée en vigueur le 1er octobre. Selon les experts du FMI, la hausse de 20 % du salaire national minimum garanti (SNMG) pourrait provoquer un choc susceptible de déstabiliser les équilibres macroéconomiques. Le rapport de la mission du FMI effectuée à Alger du 4 au 18 octobre provoque une autre polémique. Selon l’institution de Bretton Woods, la croissance économique n’excédera pas 3 % en 2006. Or le président Abdelaziz Bouteflika annonce plus de 5,2 %.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Jeune Afrique utilise votre adresse e-mail afin de vous adresser des newsletters.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- Au Mali, le Premier ministre Choguel Maïga limogé après ses propos critiques contr...
- CAF : entre Patrice Motsepe et New World TV, un bras de fer à plusieurs millions d...
- Lutte antiterroriste en Côte d’Ivoire : avec qui Alassane Ouattara a-t-il passé de...
- Au Nigeria, la famille du tycoon Mohammed Indimi se déchire pour quelques centaine...
- Sexe, pouvoir et vidéos : de quoi l’affaire Baltasar est-elle le nom ?