Ils n’ont pas oublié l’attentat contre le DC-10 d’UTA

Publié le 23 juin 2003 Lecture : 1 minute.

Les familles des 170 personnes (88 Africains, 71 Européens et 11 Nord-Américains) qui ont trouvé la mort en 1989 dans l’attentat contre le DC-10 d’UTA ne désarment pas. Elles réclament toujours justice, attendant de la Libye une indemnisation financière conséquente. Leur action a repris de plus belle avec le rétablissement des liens politiques et économiques avec l’Union européenne. Elles ont ainsi manifesté contre le fils de Kadhafi, Seïf el-Islam, qui donnait une conférence de presse à l’hôtel George-V à Paris, le 11 juin, et devant le consulat de Libye, toujours dans la capitale française, le 21 juin. Une « importante perturbation » est en préparation contre le séminaire « Parler vrai sur les opportunités d’investissement en Libye » organisé par le Centre français de commerce extérieur, le 26 juin, à Paris.

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