Cheikh Tidiane Sy Dakar, Sénégal

Publié le 23 février 2004 Lecture : 1 minute.

Suite à votre article sur le Sénégal paru dans le n° 2248 de J.A.I., en date du 8-14 février 2004, je vous fais parvenir ce droit de réponse, au nom de mon client, M. Cheikh Tidiane Sy.
Nous regrettons que votre journal ait jugé nécessaire de reproduire les écrits plus que problématiques de M. Almamy Wane, concernant M. Cheikh Tidiane Sy. Ceci constitue une circonstance aggravante pour l’auteur du livre Le Sénégal entre deux naufrages, circonstances aggravantes dont nous débattrons avec l’intéressé ailleurs que dans vos colonnes.
Nous ne comprenons plus votre journal lorsqu’il écrit : « Quel que soit le futur verdict, toute cette affaire constitue évidemment une excellente publicité pour le livre qui est déjà à son cinquième tirage. C’est la meilleure vente des éditions l’Harmattan en 2003. »
À la notion « d’excellente publicité », votre journaliste n’aurait-il pas pu substituer un qualificatif plus adéquat ?
Nous lui laissons le soin dans un futur prochain, s’il le veut, de déterminer cet autre qualificatif que la loi réprouve au vu de ce genre de publicité, dans une affaire où M. Cheikh Tidiane Sy n’est qu’une victime.

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