Salif Keita sort ?la tête haute
Au football, l’éthique commande de débuter un match à égalité de chances et durant la partie de respecter les lois du jeu, l’arbitre et l’adversaire. Une élection à la CAF n’est pas un match. Elle obéit à des conventions, des règles et des rites auxquels l’ancien footballeur que je suis ne peut pas adhérer, car ce serait se renier. Je me retire donc du jeu. » C’est par ces mots que, le 18 janvier, le Malien Salif Keita annonça, devant l’assemblée générale de la CAF, le retrait de sa candidature à l’élection au comité exécutif de la Fifa. Dès son arrivée au Caire, il s’est vite rendu compte que les dés étaient pipés et que pour la nomemklatura de la CAF, il était persona non grata.
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