[Édito] Congo-Brazzaville : soft power

«La relance économique par la diversification et le travail acharné. » C’est sous ce slogan qu’ont été placées, le 15 août dernier, les célébrations – moins ostentatoires que de coutume – de la fête nationale.

Le président congolais, Denis Sassou-Nguesso, en 2012. © Maxim Shipenkov/AP/SIPA

Le président congolais, Denis Sassou-Nguesso, en 2012. © Maxim Shipenkov/AP/SIPA

CECILE-MANCIAUX-2024
  • Cécile Manciaux

    Journaliste à Jeune Afrique depuis 2008, Cécile Manciaux est rédactrice en chef adjointe, responsable de la section « Grand format » de l’hebdomadaire. Ses principaux centres d’intérêt : l’aménagement et le développement urbain, le droit électoral, les religions, les trésors linguistiques.

Publié le 2 septembre 2019 Lecture : 3 minutes.

Le président congolais Denis Sassou Nguesso, à l’Élysée le 30 septembre 2019. © Kamil Zihnioglu/AP/SIPA
Issu du dossier

Congo-Brazzaville : après la tempête…

S’il reprend peu à peu le chemin de la croissance, le pays doit encore faire ses preuves en matière de bonne gouvernance et miser enfin sur l’agriculture et l’essor d’un véritable « green business » écoresponsable.

Sommaire

Signe que chacun est conscient que la signature d’un programme triennal avec le Fonds monétaire international (FMI), le 11 juillet, n’est que le début d’un douloureux processus de mise en conformité avec les règles de la bonne gouvernance.

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