Suzuki Ignis

Publié le 23 décembre 2003 Lecture : 1 minute.

Suzuki vient de modifier l’Ignis, désormais disponible avec trois moteurs : deux essence (1,3 et 1,6 litre) et, c’est nouveau, un Diesel de 1,3 litre.
La nouvelle version se distingue à la fois par des cotes plus généreuses et par des équipements plus complets. Elle gagne notamment 10 cm en longueur. Un gain qui profite essentiellement au confort des passagers à l’arrière.
Du côté des équipements, la nouvelle Ignis est au goût du jour : ABS, coussins gonflables, rangements et porte-gobelets, le minimum est là. La climatisation est en option.
Mais, surtout, il y a un moteur Diesel : une offre indispensable pour certains marchés, d’Europe et du Maghreb par exemple. En fait, c’est l’ensemble de sa gamme que Suzuki « diésélise ». Avec une stratégie qui peut surprendre : certains modèles sont dotés d’un moteur PSA (Peugeot-Citroën), d’autres d’un Renault, d’autres encore, dont l’Ignis, d’un Fiat, arrivé là par l’intermédiaire de la FGP, filiale commune du groupe italien et de General Motors (l’américain détient 20 % du capital de Suzuki).
Ce moteur, qui développe 70 chevaux, se révèle suffisant pour conférer à l’Ignis des performances satisfaisantes, tant en ville que sur route. Petite (elle fait 15 cm de moins qu’une Clio), c’est une citadine idéale. Dotée d’une tenue de route correcte,
d’ailleurs un peu surprenante, c’est une bonne routière.
Une voiture universelle ? On n’en est pas loin. En plus, son allure de faux 4×4 est plutôt réussie. Faux 4×4, car la version 4×4 de cette voiture, justement, ne sera pas disponible en Diesel. Et c’est bien dommage

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