Dégraissage au sein des cabinets
Le président Omar Bongo a décidé, début août, d’engager une réduction significative du nombre de conseillers dans les ministères. Il n’en subsistera que dix par département. Seuls les trois vice-Premiers ministres et les ministères des Finances, du Plan, des Affaires étrangères, de la Défense et de l’Intérieur en disposeront de quinze. Pour l’Assemblée nationale, le Sénat, le Conseil national de la communication, le Conseil économique et social et la Cour constitutionnelle, le nombre est fixé à sept. Comme pour donner l’exemple, le chef de l’État va ramener à 80 le nombre de ses propres conseillers et chargés de mission – son cabinet en comptait 400 ! Et le Premier ministre les siens, de 70 à 30.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- L’État algérien accélère la cadence pour récupérer les biens mal acquis
- Pour la première fois, Mahamadou Issoufou condamne le coup d’État du général Tiani
- Amnesty International demande l’arrêt des expulsions forcées à Abidjan
- Au Niger, Abdourahamane Tiani et la stratégie assumée de l’« anti-France »
- M23 en RDC : cinq questions pour comprendre pourquoi le conflit s’enlise