Jeune Afrique répond au « Béninois libéré »

Après la parution, à la Une du quotidien « Le Béninois libéré », d’une mise en cause d’un de ses collaborateurs, Jeune Afrique souhaite clarifier les conditions de son entretien avec le ministre Abdoulaye Bio-Tchané.

Abdoulaye Bio-Tchané. © Vincent Fournier pour J.A.

Abdoulaye Bio-Tchané. © Vincent Fournier pour J.A.

Publié le 20 septembre 2019 Lecture : 1 minute.

Jeune Afrique a pris connaissance avec beaucoup d’étonnement de la Une du quotidien « Le Béninois libéré » en date du jeudi 19 septembre 2019. Cette Une fait mention d’une « interview » du ministre d’État chargé du Plan et du Développement, Abdoulaye Bio-Tchané, que nous aurions « dénaturée ».

La Une du "Béninois libéré" © Capture d’écran / JA

La Une du "Béninois libéré" © Capture d’écran / JA

Jeune Afrique n’accepte pas que son professionnalisme et celui de son journaliste soient ainsi mis en cause. M. Abdoulaye Bio-Tchané a été contacté dans le cadre de la préparation d’un article consacré aux conséquences de la fermeture de la frontière entre le Bénin et le Nigéria. Il n’a jamais été question d’une interview à proprement parler, et il n’a jamais été question de reproduire dans leur intégralité les informations que M. Abdoulaye Bio-Tchané a bien voulu nous donner par courriel. Les citations et éléments qui ont été retenus ne dénaturent d’ailleurs pas son propos.

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Jeune Afrique regrette également que « Le Béninois libéré » ait pris la liberté de reproduire en pages intérieures, sans nous en informer ni nous demander l’autorisation, le contenu d’un courriel échangé avec M. Bio-Tchané afin d’alimenter notre article.

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