En Afrique, le rugby peine à transformer l’essai
Le rugby gagne en popularité en Afrique, où la formation est une priorité. Mais le développement de cette discipline est ralenti par certaines contraintes économiques et le manque de structures.
![L’Afrique du Sud affronte la Nouvelle-Zélande au Japon, le 21 septembre 2019. © Shuji Kajiyama/AP/SIPA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2019/09/27/sipa_ap22380256_000077.jpg)
L’Afrique du Sud affronte la Nouvelle-Zélande au Japon, le 21 septembre 2019. © Shuji Kajiyama/AP/SIPA
En Afrique, il y a les Springboks et les autres. Les Sud-Africains, qui font partie avec la Nouvelle-Zélande, l’Australie, l’Angleterre, la France ou encore l’Irlande des meilleures équipes de la planète, ont été deux fois champions du monde (1995 et 2007). Mais la réalité du rugby sur le continent est totalement différente pour les autres pays.
Hormis les Boks, seuls le Zimbabwe (1987 et 1991), la Côte d’Ivoire (1995), et la Namibie – présente en phase finale sans discontinuer depuis 1999 -, ont représenté l’Afrique, sans jamais remporter le moindre match. Avec deux places en Coupe du monde, dont une réservée aux coéquipiers du Sud-Africain Cheslin Kolbe, dispensés de qualifications, l’Afrique est aussi bien lotie que l’Amérique du Sud et l’Amérique du Nord, et mieux que l’Asie (un représentant).
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