L’Afrique qui marche
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Pour tordre le cou au cliché selon lequel « en Afrique, rien ne marche », une soixantaine d’entrepreneurs, enseignants, scientifiques, banquiers, écrivains et membres d’ONG venus de tout le continent se réuniront le 12 février, à la Cité des sciences et de l’industrie, à Paris. L’esprit de ce « Forum Afrique avenir » organisé sous le patronage de l’Élysée est celui du 24e sommet Afrique-France, qui s’ouvrira deux jours plus tard à Cannes (voir pp. 30-31) : regarder l’Afrique avec optimisme, parce que, comme partout ailleurs, des idées, des initiatives, des succès et des talents y naissent. Un public d’un millier de personnes – étudiants, membres de la société civile, partenaires publics et privés – y trouvera l’occasion de partager les expériences – réussies – d’une soixantaine de témoins parmi lesquels devraient figurer le réalisateur mauritanien Abderrahamane Sissako, le chanteur sénégalais Youssou Ndour et le Soudanais Mohamed Ibrahim, fondateur de l’opérateur de téléphonie mobile Celtel.
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