Côte d’Ivoire : Jacques Mangoua, victime d’un « complot » ? La question divise les hommes de droit

La condamnation de Jacques Mangoua, vice-président du PDCI, à cinq ans de prison pour détention de munitions d’armes de guerre est le fruit d’un « complot politique », estiment ses avocats et son parti. Le procureur assure pour sa part qu’il n’a fait « qu’appliquer la loi ».

Jacques Mangoua, vice-président du PDCI, lors d’un meeting de son parti en octobre 2018. © DR / Copie d’écran facebook Jacques Mangoua

Jacques Mangoua, vice-président du PDCI, lors d’un meeting de son parti en octobre 2018. © DR / Copie d’écran facebook Jacques Mangoua

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Publié le 10 octobre 2019 Lecture : 3 minutes.

« Si on est d’accord pour dire que Jacques Mangoua n’est pas fou, on est amené à dire qu’il a été victime d’un complot », assure Me Luc Adjé, l’un des avocats qui a défendu le vice-président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI, d’Henri Konan Bédié) et président du Conseil régional du Gbêkê (centre-nord), le 3 octobre, au tribunal de Bouaké. Une thèse du complot  qui est fermement rejetée par Braman Koné, procureur de Bouaké, qui multiplie les sorties médiatiques.

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