Wit spirit (X)

Publié le 21 juillet 2003 Lecture : 1 minute.

Dixième et dernière livraison de cet inimitable Wit Spirit, ou humour anglo-saxon, dont le machisme prononcé m’a valu des reproches de la rédaction de J.A.I., à dominante féminine et/ou féministe.
La semaine prochaine ? Surprise.
B.B.Y.

Être catholique ne vous empêche pas de pécher, mais simplement d’y prendre du plaisir.
Il vaut mieux être le second mari d’une veuve que le premier.
– Puis-je vous présenter ma femme ?
– Non merci ! J’en ai déjà une…
Quand un célibataire rentre chez lui, il regarde ce qu’il y a dans son réfrigérateur, puis va au lit. L’homme marié, lui, regarde ce qu’il y a dans son lit, puis va voir dans le réfrigérateur.
À New York, on cherche à se débarrasser des pigeons. À Las Vegas, c’est le contraire.
On vient de sortir des piles qui marchent avec des piles. Mais les piles ne sont pas fournies !
À l’opéra, quand on se fait poignarder, au lieu de mourir, on chante.
J’ai découvert une machine qui peut faire la moitié de mon travail. J’en ai acheté deux…
J’ai réalisé que j’avais besoin de lunettes le jour où j’ai confondu mon taille-crayon avec le cadran du téléphone.
Les murs des chambres d’hôtel sont trop minces quand on a envie de dormir, et trop épais quand on a envie d’écouter.
Ma femme et moi, nous avons connu trente ans de bonheur. Et puis nous nous sommes rencontrés.
Mes parents ne me désiraient pas. Au point que pour rentrer de la maternité, j’ai dû prendre un taxi.
Ça roule de plus en plus mal. L’autre jour, j’ai été dépassé par une voiture en stationnement !
La télévision ouvre bien des portes – notamment celles des réfrigérateurs.

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