Présidentielle en Algérie : six candidatures « en bonne voie » d’être validées

L’Autorité nationale indépendante des élections (Anie), nouvelle instance chargée de superviser le processus électoral en Algérie, a jusqu’à samedi 2 novembre à minuit pour annoncer quelles candidatures – parmi les 22 déposées – seront finalement retenues pour le scrutin présidentiel du 12 décembre. Indiscrétions.

L’ex-ministre de la Justice Mohamed Charfi, président de l’Autorité nationale indépendante des élections. © DR

L’ex-ministre de la Justice Mohamed Charfi, président de l’Autorité nationale indépendante des élections. © DR

Publié le 28 octobre 2019 Lecture : 3 minutes.

Le délai pour étudier la validité des candidatures a été abaissé à sept jours, contre dix dans l’ancienne loi électorale. L’opération était alors assurée par le Conseil constitutionnel, qui n’aura cette fois qu’à entériner la liste finale communiquée par l’Autorité nationale indépendante des élections (l’Anie).

Créée le 15 septembre dernier et composée d’une cinquantaine de membres, dont un président – en l’occurrence l’ex-ministre Mohamed Chorfi – , deux vice-présidents et un bureau de huit personnes, cette dernière autorité peut s’appuyer sur une équipe élargie de 400 éléments au total.

« La tâche n’est pas aisée : nous devons traiter les formulaires par système informatique, en vérifiant si une même personne n’a pas signé pour deux candidats. À la fin, un procès-verbal contenant toutes les irrégularités constatées sera établi pour chaque dossier », explique à Jeune Afrique l’un des agents de l’Autorité.

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