Face-à-face : prise de bec autour de l’automatisation des péages camerounais

Le consortium français composé par Razel-Bec et Egis Project, choisi par les autorités camerounaises pour automatiser 45 péages routiers, voit son contrat contesté par son concurrent sud-africain Intertoll, qui l’accuse d’avoir été juge et partie dans l’attribution de ce dossier.

De g. à d. : Franck Casteleyn (directeur Cameroun, Razel-Bec), Rik Joostens (DG, Egis Projects) et Kushil Maharaj (directeur exécutif, Intertoll) © Lonovo ; Boris-Yvan Dassie ; DR

De g. à d. : Franck Casteleyn (directeur Cameroun, Razel-Bec), Rik Joostens (DG, Egis Projects) et Kushil Maharaj (directeur exécutif, Intertoll) © Lonovo ; Boris-Yvan Dassie ; DR

Rémy Darras © Francois Grivelet pour JA

Publié le 28 octobre 2019 Lecture : 1 minute.

Depuis 2009, le Cameroun cherche à automatiser ses 45 péages routiers, dont plus de la moitié des recettes lui échappe à cause de la fraude. Le 25 avril, un consortium français composé de Razel-Bec, dirigé localement par Frank Casteleyn, et Egis Projects, piloté par Rik Joostens, se voyait attribuer la concession pour la construction, le financement et l’exploitation de quatorze péages routiers automatiques, les plus rentables du pays, qui génèrent 75 % des recettes.

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