[Tribune] Il devient plus facile de faire des affaires en Afrique — mais il est possible de mieux faire
Plusieurs pays du continent ont amélioré le climat de l’investissement sur leur territoire pour aider les entreprises à investir, à se développer et à créer des emplois.
![Marché aux épices, à Tunis (illustration) © Crédit : Carsten ten Brink](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2019/10/29/4904404666_156157994b_k.jpg)
Marché aux épices, à Tunis (illustration) © Crédit : Carsten ten Brink
Tribune co-écrite par Hafez Ghanem, vice président pour l’Afrique à la Banque mondiale, et Sérgio Pimenta, vice président régional pour le Moyen-Orient et l’Afrique à l’IFC (Société financière internationale, membre du groupe de la Banque mondiale, dédié au secteur privé).
Le Togo, petit pays d’Afrique de l’Ouest connu pour ses précieuses réserves de phosphate et ses plages de sable, vient de rejoindre le groupe des dix premiers pays réformateurs au monde dans le rapport Doing Business 2020 du Groupe de la Banque mondiale sur la facilité de faire des affaires.
Le pays a fait un impressionnant bond de 30 places dans le classement pour avoir facilité la création d’entreprises, l’obtention de permis de construire, le paiement des impôts, l’accès au crédit et l’enregistrement des biens fonciers.
Ces améliorations et d’autres ont permis au Togo de se hisser à la 97e place parmi les 190 pays évalués à l’échelle mondiale en fonction du degré de facilité de faire des affaires sur leur territoire.
En Afrique, le Togo n’est cependant pas un cas unique
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