Francophonie : Louise Mushikiwabo, bille en tête
Un an après son élection à la tête de la Francophonie, Louise Mushikiwabo veut « moderniser » une organisation qui se débat pour peser dans le jeu diplomatique. Un effort qui n’est pas sans provoquer quelques crispations.
![La secrétaire générale de la Francophonie Louise Mushikiwabo à Monaco, lors du 108e Conseil permanent de l’organisation, le 29 octobre 2019. En arrière-plan, son ex-directeur de cabinet, le français Nicolas Groper. © Antoine Jamonneau/OIF](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2019/10/31/eicemoywkaaklml.jpg)
La secrétaire générale de la Francophonie Louise Mushikiwabo à Monaco, lors du 108e Conseil permanent de l’organisation, le 29 octobre 2019. En arrière-plan, son ex-directeur de cabinet, le français Nicolas Groper. © Antoine Jamonneau/OIF
C’était il y a un an tout juste. Face à un parterre de chefs d’État qui l’avaient choisie par consensus, la Rwandaise Louise Mushikiwabo était élue à la tête de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) lors du sommet d’Erevan, en octobre 2018. Une victoire arrachée face à sa prédécesseure Michaëlle Jean grâce au soutien remarqué de la France.
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