Mise au point
![](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,height=810,fit=cover/medias/default.png)
Raouf Najar, l’ambassadeur de Tunisie en France, nous fait part de son « étonnement » de voir figurer son pays sur la carte de ceux touchés par les émeutes de la vie chère (J.A. n° 2466) : « Tant la mention de la Tunisie que la date indiquée n’ont aucune justification », écrit-il. Il s’agit effectivement d’une confusion de notre part : les troubles qui ont affecté, début avril, la région minière de Gafsa et auxquels nous faisions allusion relevaient d’un conflit d’ordre social – en particulier le problème de l’emploi des jeunes – et non de protestations contre le prix des denrées de base.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Jeune Afrique utilise votre adresse e-mail afin de vous adresser des newsletters.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- [Exclusif] Téné Birahima Ouattara : « La Côte d’Ivoire n’a jamais cherché à déstabiliser le Burkina Faso »
- Comment Ferdinand Ngoh Ngoh tente de faire limoger Adolphe Moudiki
- Jeux olympiques : quels chefs d’État seront présents ?
- En Côte d’Ivoire, le malaise à la RTI, côté coulisses
- Abel Dembélé : « Les Africains ont intérêt à voir le candidat démocrate à la tête des États-Unis »