Maroc : l’USFP sur le chemin de la réconciliation
Après des années de division et ne disposant que de 20 sièges à la Chambre des représentants, le parti social-démocrate essaie de faire peau neuve en ramenant à lui tous ses membres et sympathisants dispersés.
![Driss Lachgar, secrétaire général de l’USFP. © HASSAN OUAZANI POUR J.A.](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2015/10/30/Image172726.jpg)
Driss Lachgar, secrétaire général de l’USFP. © HASSAN OUAZANI POUR J.A.
Ce 18 décembre, l’Union socialiste des forces populaires (USFP), vieux parti de la gauche sociale-démocrate, invitait ses sympathisants à écouter une liste de personnalités échanger au sujet du développement économique du Maroc. Parmi elles, Ahmed Réda Chami, l’ex-ministre et actuel président du Conseil économique, social et environnemental (CESE), les économistes Abdelali Doumou et Driss Guerraoui, ainsi que Mekki Zouaoui, connaisseur du monde culturel et proche de Fathallah Oualalou, ancien ministre et ex-maire de Rabat.
Une affiche qui aurait pu paraître anodine, si ces personnalités ne s’étaient éloignées du parti, de diverses manières. Ahmed Réda Chami ne l’avait par exemple pas quitté à proprement parler, mais y avait simplement gelé ses activités.
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Les plus lus
- Bénin-Niger : dans les coulisses de la médiation de la dernière chance
- Au Togo, le business des « démarcheurs », ces arnaqueurs qui monnaient la justice
- Qui entoure Mele Kyari, président de la NNPC, l’État dans l’État au Nigeria ?
- Côte d’Ivoire : Laurent Gbagbo, sur les terres de Simone à Bonoua
- Alafé Wakili : « Aucun pays n’est à l’abri d’un coup d’État »