Dialogue de sourds
![](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,height=810,fit=cover/medias/default.png)
La polémique avec l’ONU à propos de la décision de nommer une commission d’enquête indépendante sur les attaques-suicides du 11 décembre (voir p. 43) n’est pas près de retomber. Les propos de Kemal Dervis, administrateur du Pnud, dont le siège algérois a été détruit par l’attentat, compliquent la tâche des diplomates. « Nous avions sollicité des autorités algériennes un renforcement des conditions de sécurité après la vague d’attentats kamikazes ayant ciblé des bâtiments officiels à Alger. Elles n’ont pas refusé, mais juste ignoré nos requêtes. » Or Kemal Dervis, après s’être rendu à Alger au lendemain de l’attaque, s’était félicité du degré de coopération entre le gouvernement algérien et son institution.
La Matinale.
Chaque matin, recevez les 10 informations clés de l’actualité africaine.
Consultez notre politique de gestion des données personnelles
Les plus lus
- L’État algérien accélère la cadence pour récupérer les biens mal acquis
- Amnesty International demande l’arrêt des expulsions forcées à Abidjan
- Comment Tiani accélère la mise en œuvre du pipeline Niger-Tchad
- Dans l’aérien, Sky Mali joue la carte de l’alliance des compagnies sahéliennes
- L’Algérienne Imane Khelif dépose plainte contre Donald Trump, Elon Musk et J. K. R...