Turbulences dans l’opposition
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La plupart des partis d’opposition légaux sont aux prises avec des mouvements de contestation intérieure. C’est le cas du Mouvement des démocrates socialistes (MDS), divisé en trois factions, de l’Union démocratique unioniste (UDU), dont le secrétaire général Abderrahmane Tlili est poursuivi en justice pour malversations, et du Parti social libéral (PSL), qui a traduit son secrétaire général Me Mounir Béji devant un conseil de discipline. Accusé de recel de biens publics, celui-ci a été « démis de ses fonctions ». Dernier épisode de ce feuilleton tragi-comique : quarante-neuf membres du Parti de l’unité populaire (PUP), dont les secrétaires généraux des fédérations de Mahdia, de Médenine et de Kairouan, ont démissionné pour rejoindre le Forum démocratique pour le travail et les libertés (FDTL), que dirige Mustapha Ben Jaâfar. Cette dernière formation a été légalisée en septembre 2002.
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