Bio express
Publié le 21 octobre 2003 Lecture : 1 minute.
Née en 1936 à Cherchell, à une centaine de kilomètres à l’ouest d’Alger, Fatma-Zohra Imalayène (Assia Djebbar est un pseudonyme) fait une entrée fracassante dans le monde des lettres en 1957 en publiant un premier roman, La Soif (Julliard), alors qu’elle vient à peine de fêter ses 20 ans. Deux ans auparavant, elle avait été la première Algérienne admise à l’École normale supérieure de Sèvres. Pendant une vingtaine d’années, elle se consacrera surtout à l’enseignement et au cinéma avant de renouer pleinement avec la littérature à partir de 1980. Elle publiera aussi bien des romans, comme L’Amour, la fantasia (Lattès, 1985) ou Loin de Médine (Albin Michel, 1991), que des recueils de nouvelles : Oran, langue morte (Actes Sud, 1997) et Femmes d’Alger dans leur appartement (Albin Michel, 2002). Pour ce qui est du cinéma, on lui doit notamment La Nouba des femmes du mont Chenoua (1978).
