Goldman Sachs confirme son ancrage africain depuis Johannesburg
La banque d’investissement américaine renforce sa position en Afrique du Sud, à contre-courant de nombre d’acteurs financiers qui ont réduit leurs effectifs ou fermé leur bureau, échaudés par un contexte économique morose, deux ans après l’arrivée au pouvoir de Cyril Ramaphosa.
![Fin 2015, les actifs de Goldman Sachs atteignaient environ 860 milliards de dollars. © Richard Drew/AP/SIPA](https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=1215,fit=cover/https://prod.cdn-medias.jeuneafrique.com/medias/2016/10/14/goldman-sachs-ap-sipa.jpg)
Fin 2015, les actifs de Goldman Sachs atteignaient environ 860 milliards de dollars. © Richard Drew/AP/SIPA
Après avoir annoncé en mai dernier qu’elle s’apprêtait à élargir ses services en Afrique du Sud, Goldman Sachs passe aux actes. Lundi 20 janvier, la banque de Wall Street a fait savoir dans un bref communiqué qu’elle avait reçu l’accord du régulateur bancaire – la South African Reserve Bank – « pour opérer en tant que banque en Afrique du Sud ».
Concrètement, Goldman Sachs International Bank (GSIB), qui regroupe les activités internationales de la banque new-yorkaise au Royaume-Uni, en Allemagne, en Chine ou en Corée du Sud, disposera désormais d’une branche sud-africaine.
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
![Image](/cdn-cgi/image/q=auto,f=auto,metadata=none,width=137,height=137,fit=cover/build/2023/images/poool-illustration.png)
Les plus lus
- À la demande d’Alassane Ouattara, João Lourenço nouveau médiateur pour le Sahel ?
- Est de la RDC : Corneille Nangaa, l’histoire d’un apprenti rebelle
- Au Cameroun, Paul Biya songe-t-il toujours à autoriser la double nationalité ?
- Roland Dumas et l’Afrique : des plaidoiries au scandale
- Sonangol obtient le feu vert d’Alassane Ouattara pour la vente de ses parts dans la SIR