À l’ombre d’un baobab

Publié le 21 janvier 2003 Lecture : 1 minute.

Meilleure vente de l’année 2002 pour les éditions scolaires Didier Jeunesse, avec un premier tirage de 10 000 exemplaires épuisé en deux mois, Les Comptines du Baobab, un recueil de berceuses et de chansons d’Afrique noire en onze langues (lingala, wolof, bambara, peul, sango…) et illustré par Élodie Nouhen, a nécessité traduction et mise en musique avec des instruments traditionnels : « Un mois avant, on pensait qu’il n’y avait que neuf langues. C’est un vrai travail de collecte, d’édition et d’érudition et… de production pour la musique. J’ai eu l’idée des comptines pour le Maghreb (À l’ombre de l’olivier), mais ce sont des projets lourds à monter et qui demandent beaucoup de temps si on veut avoir un résultat de qualité », raconte Michèle Moreau, directrice de Didier Jeunesse. Le livre a aussi conquis un public à l’international puisque les droits ont été achetés par l’éditeur italien Mondadori. Pari gagné.

Comptines et berceuses du baobab, l’Afrique noire en 30 comptines, Didier Jeunesse, 60 pp., 23,5 euros.

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