[Tribune] Une union africaine face au jihadisme
Il est urgent d’apporter une réponse conjointe entre États africains, et surtout entre régions africaines, afin d’éviter un enlisement de la crise sécuritaire au Sahel.
-
Arnauld Akodjenou
Ex-représentant spécial adjoint du Secrétaire général des Nations unies en Côte d’Ivoire. Membre de la Fondation Kofi Annan
Publié le 12 mars 2020 Lecture : 2 minutes.
La crise sécuritaire qui touche les pays du Sahel est désormais une crise régionale, qui s’étend de l’Afrique de l’Ouest à l’Afrique centrale. Des attaques jihadistes sont menées près des frontières ivoiriennes, béninoises et guinéennes. Et le risque de contagion et d’enlisement est encore plus prégnant, compte tenu de la situation au Nigeria, au Tchad et au Cameroun, cibles de Boko Haram.
Malgré
Bien s’informer, mieux décider
Abonnez-vous pour lire la suite et accéder à tous nos articles
Les plus lus – Politique
- Sextapes et argent public : les Obiang pris dans l’ouragan Bello
- À Casablanca, la Joutia de Derb Ghallef en voie de réhabilitation
- Présidentielle en Côte d’Ivoire : la stratégie anti-fake news d’Alassane Ouattara
- En RDC, la nouvelle vie à la ferme de Fortunat Biselele
- Gabon : 10 choses à savoir sur la première dame, Zita Oligui Nguema